Suite à l’opération Masse critique lancée par Babelio, L’Héritier du roi Arthur a donné lieu à de nouvelles chroniques sur le site :
Cannelle124 le 10 mai :
« [...] Le gros point positif, c'est que l'auteur ne se prend pas du tout au sérieux (enfin si, j'espère … ) .. le livre regorge d'humour … et çà fait du bien ces petits clins d'oeil ou sourires (j'adore ce nain avec sa bière !!!! ) …. et l'épilogue m'a littéralement fait éclater de rire !!!
Le tout petit point négatif, c'est que, comme il faut que le roman soit accessible au jeune public, on survole un peu les lieux, on aurait envie d'en savoir plus sur certains peuples ou créatures rencontrés, sur l'histoire de ceux-ci , d'où ils viennent, comment ils ont été créés, comment ils ont débarqués dans ce monde aux frontières de Camelot … mais bon, cela est sans doute une occasion de chercher un peu en parallèle de la lecture et de trouver des récits qui mettent en scène ces mondes pour en apprendre plus ….
Bref au final j'ai plutôt bien aimé. C'est à la fois un roman d'aventure et d'apprentissage, dans lequel sont distillées les notions d'honneur et de courage. On s'attend à une nième épopée arthurienne et on se trouve projeté dans un monde entre légendes celtiques et fantasy !!! du suspense, de l'aventure, une quête, de la magie, des mondes et des territoires inventifs et surtout une bande de héros hyper attachants qui ne se prennent pas la tête, je dirais même que les méchants sont eux aussi attachants, le tout avec la petite dose d'humour pour bien se détendre ! »
Meeva le 8 mai :
« [...] L’idée m’est apparue fort sympathique. Une histoire de la veine des chevaliers de la table ronde, en littérature jeunesse.
Et les personnages sont plutôt bien réussis : le héros… au sortir de l’adolescence, qui se doit de grandir pour mener à bien sa mission, ce qui en fait une quête initiatique. Tous les autres personnages, issus des légendes, de la fantasy, de l’imaginaire historique : fées, dragons, centaures, vikings… Et les lieux : Brocéliande, Avalon, les Enfers… C’est dense.
Ce roman est vaste et dense avec seulement trois centaines de pages pour y caser tout cela. Ce qui donne une impression de survoler l’histoire. La narration m’a d’ailleurs semblé un peu trop académique, trop extérieure, ce qui donne un côté un peu artificiel à certaines actions.
Cette lecture m’a intéressée mais pas captivée, peut-être est-ce moi qui avait un petit quelque chose en trop – le manque de jeunesse – pour apprécier ce roman à sa juste valeur, pour m’enthousiasmer davantage et pour m’émouvoir d’un imaginaire que je connais déjà. »
Brinvilliers le 7 mai :
« [...] Magique, émouvant, drôle et captivant, on se laisse emporter avec plaisir dans cette suite de l'histoire d'Arthur. Un très bon livre qui ne s'oublie pas. »
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