Le Temps des râteaux - Revue de presse

Les Mille et un livres - Commentaire de Lynda Massicotte du 6 octobre 2020

« [...] Cette lecture se fait très rapidement, je pourrais dire que certains passages sont émouvants, tandis que d'autres m'ont fait cramper de rire. Et croyez moi l'image de l'adolescent accro des écrans et de son lit, je suis certaine que vous en avez un de ce modèle tout près de vous.
Je ne connaissais pas Hervé Mestron, mais j'ai beaucoup aimé son écriture. À travers ses mots remplis d'humour, il passe des petites leçons qui pourraient être profitables à certains jeunes. La tournure de l'histoire a de quoi plaire aux jeunes lecteurs, mais pas que, aux adultes également. Un très bon moment, une lecture amusante, divertissante et d'un certain côté, je pourrais même dire qu'elle peut nous apprendre certaines choses ! [...] »

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La chronique de Lee Ham du 5 mai 2019

« Le temps des râteaux parle de renaissance plus ou moins attendue. Renaissance d’un adolescent qui prend enfin conscience de ce qui l’entoure. Qui prend conscience du chien qu’il promène et de leur symbiose. De leurs discussions. Un adolescent qui, enfin, prend conscience de l’Autre au point de presque faire l’impasse sur ses questions existentielles... »

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Babelio - Chronique d'Anaelitta du 10 juin 2018

«  C'est un petit roman rapide à lire, bourré d'humour et de réalités adolescentes, que j'ai dévoré en très peu de temps. [...] »

Chronique à retrouver dans son intégralité en cliquant sur ce lien.

Le club des incorrigibles lecteurs - La chronique d'Anne du 28 mai 2018

« [...] Ce livre parle d’un fils et d’une mère. Une mère célibataire qui n’a vécu que pour son fils et qui s’est un peu oubliée en cours de route. Et un fils qui découvre que sa mère n’est pas qu’une mère ….

Hervé Mestron avec une écriture tout en tendresse et humour va faire en sorte que ces 2 inconnus vont (ré)apprendre à se faire confiance et se redécouvrir.

En refermant ce livre j’étais bien heureuse pour ces 2 maladroits des sentiments. »

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Viou et ses drôles de livres - Chronique du 16 mai 2018

« [...] Un roman frais,plein d'humour qui devrait sans peine plaire aux ados qui se reconnaîtront ou reconnaïtront certains de leurs camarades dans le personnage d'Edouard. »

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Publikart - La chronique de Bénédicte de Loriol du 9 mai 2018

« Hervé Mestron a déjà écrit de nombreux livres. Son petit dernier, Le temps des râteaux, nous a ravis ! Il est à la fois drôle, décalé, déjanté même, tout en abordant des thèmes d’une importance capitale. [...]

C’est à la fois drôle et touchant. Et l’auteur sait trouver les mots justes pour que cette histoire résonne en chaque lecteur.

Famille monoparentale, adolescence, apathie, addictions, amour, amitié, homosexualité, tous ces termes sont abordés avec Le temps des râteaux, avec un humour qui fait du bien. Un roman chargé d’amour qui englobe l’évolution de notre société, sans tabou. »

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Keskonfé - Chronique de Nathalie Orace du 3 mai 2018

« A partir d'un thème un peu loufoque nous entrons dans la vie bien réelle d'un ado, un peu mal dans sa peau, accro à internet, pas très bon élève et amoureux en secret.

Il  se voit prescrire de la marche par son médecin et son nouveau job de promeneur de chien va changer sa vie, ou tout au moins lui permettre d'y voir plus clair, de s'ouvrir aux autres, de mieux comprendre sa mère.

C'est vraiment bien fait agréable à lire, très actuel, vivant et drôle. Edouard est attachant assez conscient de ce qu'il est. Un agréable moment de lecture. »

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Deslivresetsharon - Chronique de Nina Ros du 16 avril 2018

« Laissez-moi vous présenter Edouard, l’ado dans toute sa splendeur. Ce n’est pas tant qu’il est un geek, c’est plutôt qu’il est un « no life », un être quasiment asocial, qui consent néanmoins, entre deux parties de jeux video, à se rendre au lycée. Sa mère, qui l’élève seule, est désespérée. Elle prend donc conseil auprès d’un médecin, et commence, pour son fils, une thérapie radicale. Je dirai même plus : une thérapie canine radicale, avec option ablation de tout ce qui comporte un écran, de près ou de loin.[...]
Vous l’aurez compris, Le Temps des râteaux est un roman contemporain au ton décalé, qui nous parle autant des adolescents que de leurs parents. »

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Nouveautés Littérature Jeunesse - Chronique de Marion Utéza du 13 avril 2018

« [...] Alors c'est certain, la situation imaginée par l'auteur est comique et le Yorkshire particulièrement malicieux. Cependant, le portrait est juste. Une place importante est aussi laissée au relation du jeune homme avec sa mère.  

L'écriture est à savourer. A lire ! »

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Chardonette lit - Chronique d'Emeline du 11 avril 2018

« Le temps des râteaux est une histoire qui se lit très rapidement et qui permet de plonger dans un roman adolescent différent. Le roman est à la fois réel, vrai et loufoque. [...]
Parallèlement à cette histoire d’adolescence il y a l'histoire d'un fils avec sa mère, des non-dits, des secrets. Encore une fois la plume d'Hervé Mestron est à la fois drôle et sensible.  L'idée de développer les problèmes de sa mère est judicieuse car il est vrai que quand nous sommes adolescents nous avons tendance à oublier que nos parents sont passés par là également. Il interroge également sur l'utilisation des matériaux électroniques et sur l'importance de la communication.[...] »

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Mellectures - Chronique de Mélanie Jarnet du 4 avril 2018

« [...] Ce roman qui nous parle d'un ado, de ses rapports parfois conflictuels avec les autres, de ses problèmes, de ses premiers émois amoureux, pourrait n'être qu'un roman jeunesse parmi tant d'autres mais ce n'est pas le cas.
Ce n'est pas vraiment un livre spécialement pour les ados, c'est un livre qui peut se glisser dans n'importe quelles mains tant ce qu'il a à nous dire est profond et sensible.
À travers l'histoire d'Édouard c'est l'histoire d'un jeune homme qui se cherche, qui grandit, qui apprend ce qu'est la vie, que l'on découvre.
En le suivant au fur et à mesure de ses pérégrinations, on le voit évoluer, prendre conscience de certaines choses, découvrir que même ses proches (et notamment sa mère) ont une vie en dehors de lui, il n'est pas le centre de l'univers, il fait partie d'un tout et c'est à lui d'y trouver sa place.
[...] Grâce à lui et à son parcours, Hervé Mestron aborde des sujets forts et particulièrement d'actualité, tels que la consommation de cannabis, l'addiction au virtuel et les perceptions parfois faussées de la réalité qui en découlent, sans pour autant tomber dans le mélodrame.
Il aborde cela avec sincérité et sensibilité, sans en faire trop, en montrant seulement comment cela affecte un jeune homme et son entourage.
Et c'est une chose que j'ai beaucoup aimé car cela donne un ton particulier à l'histoire qui est ainsi légère et profonde à la fois.
[...] En résumé, ce livre est un super roman qui plaira à beaucoup de monde j'en suis sûre. Il fait partie de ceux que l'on ne peut s'empêcher d'apprécier car il s'en dégage quelque chose d'unique.[...] »

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Chrisbookine - Chronique du 2 avril 2018

« [...]  J'aime beaucoup ce personnage tout en auto dérision, qui me rappelle un autre adolescent dégingandé Maxime dans Comment (bien) rater ses vacances d'Anne Percin.  

" En gros, la vie devait commencer par un bon râteau, si on voulait, un jour, espérer rouler des pelles. Je me suis marré, j'aimais bien cette phrase bien lourde, comme moi. " [...] »

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Takalirsa - Chronique de Patricia Deschamps du 1er avril 2018

«  Attention, roman humoristique à lire au second degré !..

En réalité, même si le texte est truffé de répliques savoureusement cinglantes, la situation de départ met en exergue les relations difficiles qu'entretiennent Edouard et sa mère (avec qui il vit seul) : "A l'époque, j'étais assez innocent pour croire que ma mère était parfaite. Puis en grandissant, j'ai compris." Edouard, c'est l'adolescent dans toute sa splendeur, alors on comprend que sa mère soit désespérée. De son côté, la mère a visiblement "des lubies de son âge" (manger bio, manger équilibré...) et "elle me saoule", "c'est le service militaire à domicile maintenant", bref "elle mériterait que je la dénonce à la DASS" ! Il faut dire que, privé de tout ce qu'il aime, Edouard se sent "tel un fauve en cage", cependant ces deux-là ont visiblement un problème de communication.

Edouard est persuadé que sa mère ne l'aime pas alors que pour elle, "ma vie c'est toi". Bon, ce n'est pas en l'emmenant chez le docteur Hara[ki]ri que les choses vont s'arranger... "On avait tous les deux des tas de choses à se dire mais ça ne voulait pas sortir". Une relation conflictuelle basée sur une incompréhension mutuelle que va progressivement débloquer un... chien. Et pas n'importe quel chien ! Princesse Butterfly est un "chien de compétition" habitué aux concours, "un chien mannequin dressé pour vendre du rêve", en un mot : une "snob" ! On imagine le désarroi d'Edouard lorsqu'il se met à entendre sa voix dans sa tête... Est-ce le sevrage de ses addictions qui le rend fou ?! [...] »

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Les Lectures jeunesse de Jangélis - Chronique du 29 mars 2018

« Un roman à la fois drôle et plein de réflexion sur la vie. Et qui fait réfléchir.

Plaire aux autres, se mêler de la vie de ses enfants / de ses parents ...
Est-on si idiot que ça quand on est ado ? Ou bien Edouard dépasse-t-il la moyenne ?

J'ai bien ri quand Édouard fait la connaissance du chien, puis le ramène à sa maîtresse, et que chaque fois, il en parle comme d'une voiture de location dont on ferait l'état des lieux.
- Alors, pas d’accrochage ? demande-t-elle en faisant le tour de l'animal, vérifiant le bas de caisse, les amortisseurs, la tension artérielle et l'hydratation de la truffe.

Un roman ado / adulte, un brin déjanté, mais pas tant que ça finalement. [...]

J'avoue que je n'ai pas vu arriver la fin. Finalement pas plus maline qu'Édouard, je n'avais rien deviné ! [...] »

Lire la chronique complète sur le blog de Jangélis

Les Lectures de l'Oncle Paul - Chronique du 25 mars 2018

« Si vous n’avez jamais été adolescent, vous ne pourrez comprendre dans quelles affres se débat Edouard, le jeune narrateur. [...]

Sous des dehors humoristiques, amusants, voire futiles se cache un regard acéré sur le monde moderne, sur les relations parfois conflictuelles entre adultes et adolescents, et inversement non proportionnel, sur les problèmes des familles monoparentales.

Car Edouard n’a pas connu son père, et à part sa mère, il ne voit que Gazou, sa tante. Evidemment l’environnement masculin lui fait défaut, pourtant il ne ressent pas de manque. Le problème, c’est que sevré d’écran, il en aurait oublié l’ordinateur. Et quand sa mère lui demande de réparer le sien qui s’est planté, Edouard se rend compte qu’elle visite régulièrement des sites de rencontres.

Edouard, malgré son attirance manifeste pour Nicoline et son envie de lui faire découvrir une chambre d’hôtel, est resté naïf. Cette naïveté l’amène à se conduire comme un imbécile, et quand un prof, ou une prof, se rend compte de ses agissements qui ne sont guère tolérés de la part d’un individu responsable, il soit se rendre dans le bureau du CPE, ce qui entache sa réputation.

Un roman pour adolescent, oui, mais également destiné aux adultes qui se rendront compte que la vie d’un jeune n’est pas un long fleuve tranquille dans l’apprentissage de la vie, et qu’il faut parfois réviser des jugements préfabriqués. »

Lire la chronique complète de l’Oncle Paul sur le blog leslecturesdelonclepaul

Zazimuth - Chronique de Véronique Sylvestre du 24 mars 2018

« [...] Le tout peut sembler parfois déroutant car décalé mais aborde avec sensibilité des questions comme l'amour et la communication, le spleen adolescent, l'addiction aux écrans numériques sans oublier une très belle relation mère-fils dans laquelle chacun veille sur le bonheur de l'autre.
Je suis sortie enchantée de cette lecture amusante et pleine d'humanité. »

Lire la chronique complète de zazimuth sur Babelio

Au pays de lire - La chronique de Valérie du 24 mars 2018

« [...] j'ai une fois encore retrouvé la superbe plume d’Hervé Mestron, en quelques mots, l’auteur arrive à nous emmener dans son univers. Malgré une lecture rapide, Hervé Mestron nous fait passer pas mal de beaux messages à travers les yeux d’Édouard qui découvre l’amour et ses déboires. La couverture reflète à merveille l’humour présent tout au long de ce roman et la succession de quiproquos est juste hilarante. J’ai vraiment passé un excellent moment de détente.

En conclusion : C'est encore un excellent roman d'Hervé Mestron que je viens de terminer, il arrive en quelques pages à [...] à faire passer de très jolis messages. L’humour et l’émotion sont présents tout au long de notre lecture, c’est un roman que je conseille tout particulièrement aux adolescents mais qui ravira également les plus grands. »

Lire la chronique complète sur le blog Aupaysdelire

Babelio - Chronique de Paroles du 24 mars 2018

« [...] C'est drôle, impertinent, jonché de vérités bien actuelles, même si parfois elles font clichés. On balance sans arrêt entre réalité et loufoquerie. Bref, ce roman jeunesse (mais que tout le monde peut découvrir) se lit aisément et d'une traite.
L'adolescence et ce mal-être qui l'accompagne sont très bien décrits : on grandit n'importe comment et tout de travers et les pensées suivent le même chemin biscornu. Chacun cherche sa place dans un no man s'land, un pied encore dans l'enfance et l'autre déjà dans le monde adulte. Hervé Mestron, dont j'avais fait la connaissance avec « Cendres de Marbella », décrypte notre monde actuel avec une réelle acuité, pointe ses défauts et entoure ses héros (plutôt anti-héros d'ailleurs) d'une certaine tendresse malgré des environnements quelquefois difficiles.[...] »

Chronique à retrouver dans son intégralité en cliquant sur ce lien.

Docbird - Chronique de Sylvie Pequegnot du 21 mars 2018

« [...] Le titre et l’illustration de couverture laissaient présager d’un roman au ton résolument décalé, provocateur et plein d’humour, et c’est en effet le cas.

Dans le rôle de l’ado déprimé qui va devoir se confronter à des événements bizarres, je vous présente Edouard, qui se retrouve bien malgré lui promeneur du chien de luxe Princesse Butterfly. Edouard est plutôt paresseux, et prend beaucoup de distance par rapport à lui-même. Il comprend qu’avec son appareil dentaire et ses boutons, il risque d’être le roi des râteaux, même s’il fait croire à sa mère qu’il est assailli de filles.

Sa vie prend un tournant le jour où il se voit obligé de promener Princesse B. Il découvre avec stupéfaction qu’il entend la voix du chien dans sa tête, et se demande s’il n’est pas en train de devenir fou !

Mais ce n’est que le début, car Princesse B. lui explique que la belle Nicoline, dont Edouard est secrètement amoureux, l’aime sans oser lui dire, et qu’elle peut l’aider à faire le bonheur.

C’est là que les quiproquos vont s’enchaîner, pour le plus grand plaisir du lecteur !

J’ai pris beaucoup de plaisir à ce roman qui tient ses promesses, et met le lecteur dans la peau d’un ado ordinaire qui voit sa vie changer, et qui du coup va lui aussi affiner son regard sur le monde qui l’entoure, ses relations avec sa mère, les secrets de cette dernière. [...] »

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Blogamoi - Chronique d'Hélène Leroy du 17 mars 2018

« Voilà un roman original qui donne le sourire ! Edouard est un ado typique, boutonneux, peu enclin aux activités autres que celles nécessitant un écran. Et il possède un humour très second degré qui fait qu'on ne peut pas lui en vouloir. J'ai beaucoup aimé le style du roman : léger sans être vulgaire, amusant sans être facile. Dans la ligne droite des autres romans d'Hervé Mestron : phrases bien ciselées et répliques bien senties. Les thèmes sont actuels et traités avec finesse, sans gros sabots : addiction aux écrans, quête d'identité, relations amoureuses...Je ne vous en dis pas trop ! Belle découverte, à conseiller dès la 3e. »

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Couverture Le temps des râteaux

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