« [...] Des nouvelles insolites... qui débutent par de très courtes fictions d'êtres dans la douleur, la guerre et le refuge de familles dans des caves pour se protéger des bombes, un enfant différent, diminué mentalement dans une famille où le père pour conjurer sa douleur, passe ses journées à photographier les nuages...en noir et blanc...et puis une progression tangible d'êtres dans la souffrance et la quête d'un sens, d'un oubli dans la beauté... Beauté de la photographie, beauté de la peinture... Mais ce qui m'a le plus captivé ce sont les nouvelles concernant directement les peintres admirés par Didier Goupil, dont il parle avec talent et un lyrisme merveilleux ! [...]
Dans ces nouvelles,j'ai découvert grâce à Didier Goupil, l'artiste contemporain, Franciam Charlot, dont l'oeuvre plastique est issue de la douleur... Comme Chaïm Soutine, présent dans une des brèves de l'écrivain... comme j'ai appris à connaître non pas Maurice Estève, mais Cosme Estève... [autour duquel Didier Goupil a publié un autre texte, Journal d'un caméléon, qu'il me reste à lire !] [...]
De magnifiques lignes sur l'acte de peindre ...ainsi que sur la complexité de toute création artistique ! J'allais omettre la jaquette couleurs très réussie ornée d' un tableau de Roger Cosme Estève.»
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