Le Signe du Diable - Revue de presse

La chronique de Lee Ham du 10 octobre 2019

« [...] L’histoire est vivante et réaliste. Elle nous fait frémir, sourire, maudire sans fin. Comment se sortir d’une telle aventure? Comment Morgane fera t-elle pour faire accepter son humanité? S’en sortira t-elle? Quelle est cette hystérie collective qui semble la suivre partout? Est-ce une malédiction?

Le Signe du diable est un roman prenant qui nous transporte dans une période très sombre. Une période où la différence pouvait être fatale. Une fatalité animée par la folie humaine. Une folie humaine rendue dangereuse par une imagination macabre. Une animation guidée par l’ignorance. La peur. La pauvreté. Une imagination qui pouvait devenir mortelle dès l’instant où il était décrété qu’un individu portait le signe du diable. »

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Les Lectures de l'Oncle Paul - Chronique de Paul Maugendre du 9 avril 2018

«

Affalé dans son fauteuil, près de la cheminée, le vieil homme semble dormir. Mais ce n’est qu’une apparence. Le bon curé du village, le prêtre Bérard, vient de décéder. Sa fille Morgane, dix sept ans environ, en est fort marrie et déboussolée.

Car le bon curé, fort estimé de ses ouailles, a fauté. Personne ne lui en a tenu rigueur. Seule la mère de Morgane a essuyé la vindicte de la populace qui la considérait comme une sorcière, une maléficière. Et Morgane, qui ne s’aventure guère près du village, possède une tache de naissance sur le front qui la désigne comme héritière des dons et pouvoirs de sa mère.

Les villageois, venus apporter quelques vivres au curé, forcent la porte car Morgane s’est retranchée dans la cabane. Ils découvrent le tableau macabre et accusent aussitôt Morgane d’être responsable du décès de son géniteur. Ils l’emmènent jusqu’à un arbre afin de la pendre, mais un éclair subit coupe la corde attachée à une branche et Morgane peut s’enfuir dans la forêt à dos de mule.

Morgane arrive dans le village de Hurlebosque, mais comme elle n’est guère connue par les habitants du bourg, elle pourrait s’intégrer et vivre des jours calmes si deux événements ne précipitaient son destin. Pourtant son intrusion n’est pas passée inaperçue. Exténuée, harassée, sale, les cheveux blanchis par l’épreuve, heureusement avortée de la pendaison, elle est recueillie par un vieux couple de boisilleurs dont la seule ressource consiste en le ramassage de branchages et la confection des fagots.

 

Les deux événements qui se précipitent résident d’abord dans le fait que le seigneur du lieu est décédé quelques semaines auparavant dans des conditions tragiques et mystérieuses, sans que son corps soit redécouvert. Depuis son fils Philippe semble atteint d’un mal qui l’oblige à murer les ouvertures de son château et lui-même se cloître.

L’autre événement est lié à la venue de l’inquisiteur Henri Niger. Morgane est tout désignée pour subir les foudres de ce religieux qui traque les maléficières et autres personnes qui pourraient se montrer hostiles envers la religion. Morgane est arrêtée et ne peut s’empêcher, sous la torture, d’avouer un crime imaginaire. En attendant son dernier supplice, la mort, Morgane est enfermé dans les caves du castel. Elle est délivrée par le fils du seigneur défunt du lieu qui lui demande de remplir une mission. Elle sera accompagnée par un jeune chevalier, Thierry de Mânecombe.

Ils doivent débarrasser la région de Maurie, une sorcière malfaisante réputée qui vit au milieu des marais. Et selon le baron Philippe, seule Morgane peut arriver à accomplir cette mission qui en même temps signifie sa libération.

 

Morgane assistée de Thierry va vivre, ou plutôt subir moult épreuves dans ce qui pourrait être un parcours initiatique, un parcours du combattant semé d’embûches. Niger et ses séides la traquent sans relâche, jusque dans les marais. Elle échappe à bon nombre de périls dont une noyade, une ordalie, exemple de la bêtise religieuse qui veut qu’une personne jetée dans une rivière est possédée du démon si elle survit, et innocente si elle se noie. Elle parcourt, toujours en compagnie de son garde du corps chevalier-servant la région, traversant des villages exsangues, bravant le danger envers et contre tout, manquant de mourir dans diverses circonstances, dont un empoisonnement, bref une épopée épique dont à chaque fois elle se relève plus forte. Mais tiendra-t-elle jusqu’au bout de ce périple riche en émotions ?

Dans une France qui a subi les dégâts de la Guerre de Cent ans, puis les affres de la peste et de la lèpre dont des séquelles se manifestent encore, le lecteur suit cette jeune fille sans peur et sans reproche, dans ce qui pourrait être n’importe quelle région française, et que j’aime à situer en Normandie ou dans le Nivernais. Pourquoi, je n’en sais rien, une impression.

En cette fin de Moyen-âge, les seigneurs, les hobereaux de province se conduisent en petits tyrans, et plus particulièrement Raoul de Hurlebosque, dit Raoul le Fel.

A quoi bon épargner les petites gens ? Les sang-bleu ne s’en sont jamais soucié, encore moins ici où tous sont issus de vieux lignages. Ils vivent dans le passé, bercés par la gloire de leurs ancêtres, s’efforçant d’ignorer ce que la guerre, la peste et la ruine ont fait d’eux : des princes de pacotille, retranchés dans des forteresses en ruine ouvertes aux quatre vents.

La France est à un tournant de son histoire, coincée en fin du Moyen-âge et approche de la Renaissance. Mais pour l’heure ce sont bien les méfaits des seigneurs qui règnent sur leur petits domaines et la religion représentée par des inquisiteurs qui ne méritent pas l’appellation de chrétiens qui dominent le peuple.

Dans une atmosphère proche du fantastique mais sans jamais s’y adonner, cette intrigue est un véritable roman policier historique avec la recherche de coupables pour des faits de meurtres, de disparitions inexpliquées, d’empoisonnements. La recherche également de la vérité par une jeune fille, et son compagnon de route, dans un contexte où tout est voué à la sorcellerie, époque oblige, aux superstitions, et à des errances médicales qui se heurtent à la tentative de compréhension de l’origine des maux corporels.

Un premier roman abouti, ficelé comme par un vieux grognard de la littérature de l’Imaginaire, où tout est précis et flou à la fois, comme les silhouettes des personnages, des spectres qui hantent les marais. Thomas Laurent fleurète avec le fantastique mais sans vraiment se laisser aller à la facilité. Et tout est cartésien malgré les apparences. Et petit bonheur de lecteur, Thomas Laurent ne verse jamais dans les violences inutiles, gratuites, ni dans la vulgarité, mais au contraire déniche quelques mots de vieux français, un vocabulaire riche, peut-être désuet comparé à tous ceux qui usent et abusent d’anglicismes (peut-être parce qu’ils cèdent à une mode délétère et snobinarde) mais au combien réjouissant, un peu à la façon de Brice Tarvel et de Robert Darvel.

Un premier roman prometteur foisonnant, épique, avec de l’action, de l’effroi, de l’angoisse, du suspense, de l’amour et une once de psychologie

Dernière petite précision, l’auteur avait vingt et un ans lors de la sortie de ce livre. »

Lire la chronique de Paul Maugendre sur le blog Les Lectures de l'Oncle Paul

Juste m'échapper - Chronique du 1/11/2017

« [...] J'ai vraiment beaucoup aimé Le signe du diable, l'histoire du Moyen-Age est toute aussi présente que dans Code Victoria! Les légendes du Moyen-Age et tout particulièrement celles de sorcières m'ont toujours intéressée, j'ai été très bien servie ! Sans compter que l'auteur respecte vraiment le côté historique, les indices qui pouvaient faire penser le peuple qu'une femme était une sorcière sont corrects, les supplices qu'on leur infligeait aussi, c'est une véritable immersion en plein coeur du Moyen-Age ! [...] »

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Bazar de la littérature, chaîne Youtube - 2 octobre 2017

Présentation du roman Le Signe du Diable par Maureen du Bazar de la littérature sur sa chaîne vidéo : « Un premier roman très bien ficelé qui ne donne en aucun cas une impression d’amateurisme mais témoigne au contraire d’une bonne connaissance de l’époque et d’une belle maîtrise scénaristique. »

Voir sa chronique du 25 septembre & Regarder la vidéo du Bazar de la littérature

Les mille et un livres - Chronique du 20 septembre 2017

« Thomas Laurent nous présente un excellent polar médiéval. [...] Ce roman est bien écrit avec un vocabulaire d'époque. Thomas Laurent nous entraîne dans une enquête remplie de surprises et de rebondissements. Il présente la France du XVe siècle avec ses légendes, ses superstitions et ses croyances.
Une des grandes forces dans la plume de Thomas Laurent, c'est le réalisme de ses descriptions, c'est une lecture qui stimule l'imaginaire du lecteur.
Le signe du diable est un premier roman qui a beaucoup d'étoffe, et même, je dirais, l'étoffe d'un grand roman de style thriller historique. »

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Bazar de la littérature - Chronique du 16 septembre 2017

« [...] J’ai trouvé le fil rouge et tous les détours empruntés par l’héroïne intelligents et bien menés. Le dénouement apporte toutes les réponses à nos questions et chaque mystère se voit résolu en toute cohérence. Finalement, l’enquête n’est pas d’une très grande complexité, mais il fallait y penser. De mon côté, à part un point ou deux, je n’avais rien vu venir et ai donc été plus qu’agréablement surprise par le fin mot de l’histoire. [...]

Le Signe du Diable est un premier roman très bien ficelé qui ne donne en aucun cas une impression d’amateurisme mais qui témoigne au contraire d’une bonne connaissance de l’époque (XVe siècle) et d’une belle maîtrise scénaristique. »

Lire la chronique complète sur Bazar de la littérature

Les Chroniques des lecteurs sur Babelio

Murielan - 20 juin 2017

« [...] J'ai adoré suivre cette enquête en plein coeur du Moyen Age : les croyances, les superstitions, l'Inquisition en font un moment de l'Histoire particulièrement propice aux manipulations et aux vengeances en tout genre.
Morgane, en raison d'une tâche de naissance sur le front, a tout pour être accusée de sorcellerie et j'ai apprécié qu'elle se batte pour survivre mais aussi qu'elle utilise parfois ces croyances à son avantage.
L'intrigue est elle aussi menée tambour battant : une rythme effréné, pas de temps mort et des rebondissements à foison ont fait que j'ai eu du mal à lâcher ce roman une fois commencé ! »

Goewin - 13 juin 2017

« Epoustouflant ! Un polar médiéval de toute beauté. [...] L'auteur maintient le suspense jusqu'à la fin et quelle fin ! Quelle surprise ! J'avoue que j'ai suivi les raisonnements de Morgane et que je n'avais rien vu venir.
Thomas Laurent est un tout jeune auteur de 21 ans et le Signe du Diable est son premier roman publié. C'est une réussite. Il nous offre un complot diabolique, ses descriptions sont bien documentées et respectent la période historique, il nous captive de la première à la dernière page. »

Iboo - 30 mai 2017

« Ce roman est tout à fait passionnant et fort bien écrit. Il s'agit en quelque sorte d'un polar médiéval dans un climat de sorcellerie et d'inquisition. Genre littéraire que je ne connais que fort peu, voire pas du tout, et j'avoue avoir été conquise. Il apparaît nettement que l'auteur s'est appliqué à ne pas s'éloigner de la réalité historique et ce souci de cohérence apporte beaucoup de crédibilité à son ouvrage. »

Grey - 8 novembre 2016

« Excellent premier roman de Thomas Laurent. L'intrigue est parfaite, et prenante, et on sent que le travail réalisé derrière est énorme. L'immersion est totale, et il faut lutter pour s'empêcher de dévorer ce roman d'une traite. Je n'attend qu'une chose, le prochain livre de Thomas Laurent, parce que je sais que le plaisir de lecture sera aussi présent! »

N'hésitez pas à retourner régulièrement sur Babelio pour y voir de nouvelles critiques. Lire les critiques complètes sur Babelio

L'interview de Thomas Laurent par Avisdeuxlecteurs

Dans cette interview réalisée par Claude, Thomas Laurent lève le voile sur les coulisses de son premier roman Le Signe du Diable et sur sa passion de l’écriture.

Pour lire l’interview sur Avisdeuxlecteurs, cliquez sur le lien.

Lecteurs.com - 24 janvier 2017

« C'est un premier roman .... et c'est un roman réussi qui réunit tous les ingrédients qui font de cette lecture un pur moment magique !! [...] On assiste de bout en bout à l'accumulation de fausses croyances et de superstitions qui font de Thomas Laurent un conteur de talent puis qu’à force de contradictions et de bon sens, l'auteur arrive à mener l'enquête tout en nous enseignant cette période trouble... »

Lire la chronique complète de Valérie Bzrechwa sur Lecteurs.com

La Caverne du polar - 24 janvier 2017

« L’intrigue est originale et bien menée. [...] Le dénouement sera complètement inattendu.
Pour son premier roman le jeune auteur alsacien a fait fort. Son écriture est parfaitement adaptée à l’époque. Les descriptions sont réalistes, on sent tout le travail de recherche qui a été accompli. C’est une lecture dépaysante que j’ai bien apprécié. Je suis complètement rentré dans l’univers médiéval. Je le conseille à tout le monde. »

Serial Lecteur - 10 décembre 2016

« "Le signe du Diable" est le premier roman de Thomas Laurent, auteur strasbourgeois,publié aux éditions Zinedi.

J'affectionne les thrillers historiques, ainsi que cette sombre période de notre Histoire, mais j'avoue ne pas en lire tant que ça, mon auteur de prédilection étant Karen Maitland, malheureusement peu traduite en français ...

Alors quand cet auteur a lancé un appel aux bloggeurs sur les réseaux sociaux, j'ai répondu présente ! D'autant plus que je n'ai pas souvenir d'avoir déjà lu un thriller médiéval français ... Et quelle bonne surprise !

J'ai aimé cette immersion dans la France médiévale, encore meurtrie par les épidémies, sa folie dans sa chasse aux sorcières, ses superstitions, on sent que Thomas Laurent sait de quoi il parle, qu'il a fait un travail de recherche des plus fouillés, limite on se demande s'il ne serait pas un peu sorcier sur les bords pour en savoir autant ? ;p

J'ai vraiment aimé le personnage de Morgane, à la fois si forte et si fragile, la seule à ne pas croire à ces contes de bonne-femme, la seule à paraître lucide mais, qui, comme nous, finira par douter.

Les autres personnages ne sont pas en reste, charismatiques ou détestables, j'aurais bien voulu jeter des sorts à plus d'uns par moment.

L'histoire nous apporte son lot de surprises, de frissons, d'émotions et de What the fuck !!!, non mais ce twist final, un grand bravo à l'auteur, je me suis faite berner de bout en bout, et, punaise, j'adore ça !

Un immense merci à Thomas Laurent pour sa confiance, un jeune auteur promettre que j'ai envie de suivre et que je recommande vivement. »

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DNA Sélestat - 29 novembre 2016

« Mais quelle belle idée diabolique, recevoir à l'heure de l'apéro, dans un lieu consacré au culte de la lecture, un jeune auteur de roman passionné par le Moyen Âge, la Renaissance et les les sorcières, Thomas Laurent. C'est ce qui a été proposé aux lecteurs de la médiathèque La Bouilloire à Markolsheim ainsi qu'aux membres de l'atelier d'écriture de la MJC... »

161022 dna region le signe du diable

 

 

Sagweste in Librio - 25 novembre 2016

« Ce thriller est devenu un page turner, vivant au rythme de Morgane et de ses péripéties. Laurent Thomas a une plume fluide, adaptée à l’époque qu’il relate. Cela fait très longtemps que je n’avais pas plongé au cœur de la campagne médiévale, avec sa vie très dure, ses croyances très binaires (le bien, le mal) et surtout ses êtres sanguinaires sous couvert de sainteté.
Merci pour ce livre que je recommande ! Premier roman d'un jeune auteur alsacien, Thomas, je suivrai tes prochains écrits avec plaisir. On a comparé ton livre à ceux de Serge Brussolo (mon auteur fétiche) et tu n’as démérité en rien ! »

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The Eden of books - 3 novembre 2016

« Quelle magnifique réussite que signe ce jeune auteur dans l’écriture de ce polar médiéval ! J’ai été impressionnée par la maturité dont il fait preuve dans son style d’écriture.

Ce roman nous plonge dans la France du XVe siècle où la raison se heurte aux croyances et superstitions de l’époque. L’auteur utilise un vocabulaire spécifique crédibilisant le récit. Qui sont en réalité ces femmes dérangeant autant l’église et faisant l’objet de dénonciations des habitants du village? Mire, apothicaire ou réellement sorcière? La réponse est donnée, suggérée, tout en semant le doute quelques fois. Le personnage de Morgane, marquée du signe du diable, est tout a fait fascinant. Jeune femme intelligente, sans doute en marge de son époque, elle aura à mener une enquête ardue si elle veut espérer bénéficier de l’appui du baron pour gagner le droit à un avenir plus serein. Les péripéties seront au rendez-vous ! Point de temps mort dans ce récit haletant.

Une autre force de ce roman réside dans les descriptions réalistes, parfois empreintes de poésie. Elles ouvrent notre imaginaire et suscitent l’émergence d’images nous permettant de voir les paysages et de vivre les scènes à côté des personnages.

Le Signe du Diable est définitivement un grand succès dont peut être fier son auteur à qui j’encourage vivement de continuer dans la voie de l’écriture ! »

Lire la chronique sur The Eden of books

Mel Lectures - 2 novembre 2016

« J'ai adoré ce livre dès les premières lignes. Il m'a captivé de bout en bout.

On pourrait résumer ce livre en disant que c'est un polar médiéval sur fond de sorcellerie mais en fait c'est bien plus que cela.

C'est un billet d'entrée pour un monde fascinant et captivant. »

Lire la chronique complète sur le blog Mellectures

DNA Obernai - 22 octobre 2016

« Le jeune écrivain obernois Thomas Laurent ne cesse de surprendre par la qualité et le succès grandissant de son premier roman, Le Signe du Diable. Prémices d'un best-seller ? [...] des événements en cascade tiennent le lecteur en haleine pour encore mieux le happer dans son ambiance sombre. Inquisition et sorcellerie s'opposent, s'affrontent en une lutte acharnée pour le plus grand plaisir des amateurs du genre. »

161022 dna obernai le signe du diable

La chronique de Ifmarybooks - 21 octobre 2016

« L’auteur manipule avec brio son lecteur. Tout à tour on se laisse emporter par l’atmosphère étrange du livre, on suit les réactions des personnages et l’auteur rend crédible ces histoires de sorcellerie. »

Coup de coeur de la librairie Totem à Villé - 17 octobre 2016

Un coup de cœur d’Eugénie, librairie Totem à Villé :

« Le Signe du Diable de Thomas Laurent pourrait bien être celui de la tâche de naissance que Morgane porte sur le front. De plus, elle est la fille d'un prêtre défroqué, probablement ensorcelé. Enfin, le royaume de Hurlebosque semble maudit depuis quelques temps et les évènements tragiques s'y succèdent... Il n'en faut pas plus à l'inquisiteur fraîchement arrivé pour accuser Morgane de sorcellerie et la condamner au bûcher. Elle sera sauvée in extrémis et secrètement par le baron Philippe qui a besoin de ses supposés pouvoirs... Un polar médiéval bien ficelé et bien documenté (l'auteur est étudiant en archéo) où la raison et l'enquête auront fort à faire face aux superstitions et aux légendes. »

Avisdeuxlecteurs - 14 septembre 2016

«  Au XVe siècle on croit aux sorcières, aux maléfices. ..
Morgane, après la mort de son père, va devoir se battre face à l’ignorance des gens. Née avec une tache sur le front, cela fait d’elle une sorcière idéale aux yeux de tous. Accusée à tort par l’inquisiteur Henri Niger du meurtre maléfique du Baron Raoul de Hurlebosque, elle est arrêtée puis torturée. Sauvée in extremis par messire Philippe et après sa rencontre avec le chevalier Thierry, elle va devoir, pour sauver sa vie, enquêter sur ce meurtre dans des lieux plus étranges les uns que les autres.
Grâce a ce livre je viens de découvrir Thomas Laurent, un vrai plaisir, la lecture est fluide quelques mots difficiles à comprendre mais cela ne gène pas la compréhension de la phrase, certains personnages sont cruels, d’autres attachants on vit les déboires de Morgane avec elle .Une très bonne enquête policière, des rebondissements à chaque chapitre. Je vous invite à lire ce livre, vous passerez assurément de très bons moments.
»

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Recommandé par la librairie Le Temps d’une pause à Carouge (Suisse) - 19 août 2016

« Nous vous recommandons aujourd’hui Le signe du diable de Thomas Laurent, un thriller historique qui ne manque pas d’intérêt. Au chapitre des points positifs, l’aspect richement documenté de l’ouvrage, son rythme, sa pointe de fantastique et ses descriptions suffisamment bien tournées pour donner l’impression d'assister à un film. Dans le moins apprécié, certains éléments qui pourraient sembler un peu faciles et des personnages un peu trop lisses. Néanmoins, les adeptes du genre passeront un excellent moment dans cette ambiance à la Umberto Eco. »

Librairie Le Temps d’une pause

Coup de coeur de la librairie Le Libr'air à Obernai - 30 juillet 2016

« Une belle réussite que ce premier roman historique très bien documenté et dont les multiples rebondissements vous tiendront en haleine jusqu'à la dernière page ! »

Lire l’article complet sur le site de la librairie Le Libr'air.

DNA supplément Reflets - L'article de Serge Hartmann du 9 juillet 2016

« Thomas Laurent sous le signe du diable

Étudiant en archéologie, le Strasbourgeois Thomas Laurent, 22 ans, publie son premier roman, Le Signe du Diable. Un thriller au temps de la chasse aux sorcières. [...] Pour les besoins de son roman, il a épluché une multitude de procès en sorcellerie. Il a aussi été amené à étudier le fameux Malleus Maleficarum (Marteau des sorcières), souvent cité mais rarement lu. »

Article DNA de Serge Hartmann sur Thomas Laurent

Les petits mots des libraires - 2 juillet 2016

Coup de cœur de la librairie papeterie Broglie à Strasbourg pour Le Signe du Diable. Extrait :

« Un style à la Brussolo : entre le fantastique et la magie le tout sur un final réaliste. »

Couverture du roman de Thomas Laurent, Le Signe du DiableRetour au livre Le Signe du Diable, roman de Thomas Laurent.

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