Il y a un ange dans le garage - Revue de presse

Les Mille et un livres - Chronique de Nathalie Courchesne du 9 février 2021

« [...] L'auteur nous transporte d'une nouvelle à l'autre avec une très belle plume à la fois émotive, franche et sensible. On vit avec les personnages leurs émotions, leurs amours divers, leurs joies, leurs peines et leurs drames. Une lecture rapide mais sensible et intrigante pour nous. Avons-nous toujours fait le bon choix par acquis de conscience ou par amour ? »

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A vos marques tapage - Chronique de Christine Le Garrec-Sancet du 28 janvier 2021

« [ ...] En sept récits courts et percutants où l’humour se marie au sordide et au surnaturel, Daniel Pasquereau nous invite, d’une écriture particulièrement aiguisée et agréable, au coeur des relations humaines et amoureuses… Des frissons au rire, il n’y a qu’un pas ! »

Lire la chronique complète de Christine Le Garrec-Sancet sur le blog A vos marques tapage

BlackNovel - Chronique de Pierre Faverolle du 15 janvier 2021

« Il y a un ange dans le jardin de Daniel Pasquereau

Voilà un recueil de nouvelles qui va vous surprendre par la façon d’aborder les événements du quotidien et les choix que l’on est amené à faire dans une vie, mais toujours avec un scénario bien mené. Daniel Pasquereau, que je ne connaissais pas, sait décrire juste ce qu’il faut et arrive à nous surprendre au détour d’une phrase. Il est des auteurs qui écrivent des scènes, Daniel Pasquereau nous propose des pans de vie où une décision fait tout basculer. [...]

Lire la chronique complète sur l’excellent blog BlackNovel

Les Lectures de l'oncle Paul - Chronique de Paul Maugendre du 21 novembre 2020

« Quand la banalité du quotidien s’infléchit, les personnages ordinaires vivent des tranches de vie souvent implantées dans leur mémoire, extrayant la nostalgie confinée en eux.

Souvent des souvenirs enfouis en eux et qui remontent à la surface à cause d’un petit fait, du retour inopiné d’une personne oubliée ou au contraire d’un membre proche de la famille, d’un conflit familial, ou tout simplement parce que nos « héros » se trouvent être les témoins d’un événement tragique. [...]

Pourquoi on aime tant ce qui a disparu, cette phrase qui figure dans le dernier texte pourrait être le mantra qui se répercute dans tous les autres ou presque.

Et le lecteur quelque peu âgé ressentira à leur lecture comme des bouffées de nostalgie, des réminiscences de sa propre enfance, de ce qu’il a vécu peut-être, de ses aspirations, de ses désirs, de ses manques aussi, et de ses histoires d’amour contrariées élevées à un statut d’images iconiques. Tout n’est pas rose, les différents protagonistes, des hommes principalement, seront les victimes d’événements, qui s’imposent à eux ou leur échappent, qui guideront leur choix sur le chemin d’une liberté mortifère. Parfois s’en dégage un petit côté fantastique comme des interférences oniriques qui subliment les textes, leur offrant une nouvelle dimension, et permettant au lecteur de prolonger, s’il le désire, les épilogues.

Daniel Pasquereau est un auteur trop peu prolixe qui mérite d’être lu et connu. Ses nouvelles empruntent à l’amour, mais ne sont pas parfumées à l’eau de rose. Elles dégagent cette odeur d’encens que l’on retrouve lors des enterrements, sans pour autant posséder une connotation religieuse. »

Lire la chronique complète sur le blog de Paul Maugendre Les Lectures de l’oncle Paul.

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